Les créateurs de maison seront désormais modeste à un racket sur les revenus générés sur réseaux sociaux au Cameroun. Dès 2024, cette proportion pourrait pénétrer en pose, a appliqué Lebledparle.com. En transparent, le économat devrait naître à assujettir une tribut sur les butins puissants réalisés par les influenceurs sur les plateformes et applications de réseaux sociaux, pourquoi que d’étranges créatures qui échappent à présent à la finances, à l’instar des étranges professions réglementées. En action, le législation en son Étude 56.- (1) stipule que « les revenus générés sur les plateformes digitaux par les spécifiques qui y réalisent des besognes de distribution d’un capital, de ravitaillement d’un présent ou d’spéculation ou de conféré d’un capital », sont considérés plus revenus imposables.
Une proportion sentence depuis double ans
Au Cameroun, sont considérés plus provenant de l’activité d’une boulot non commerciale ou plus revenus assimilés aux bénéfices non commerciaux, les bénéfices des professions libérales, des services et devoirs lequel les titulaires n’ont pas la mérite de commerçants, les revenus non salariaux des sportifs et artistes et les bénéfices de toutes besognes, exploitations lucratives et pluies de butins ne se rattachant pas à une changé race de bénéfices ou revenus. Il convient de coter que les influenceurs et les créateurs de maison sont parmi le pointeur du impôt depuis principalement de double ans. Le situation de enfiler à l’valeur est sinon balancement direct.