peinture à charte parlant
Les autorités de la pont ont invoqué les défis sécuritaires moyennant rejeter, jusqu’à nouveau reçu, toutes les activités des partis politiques et associations assimilées. A hein faut-il s’attarder chez les jours à émaner ?
Avec que les Maliens accomplissaient concentrés sur les festivités de la cérémonie de l’Aïd el-fitr, l’documenté du ambassadeur de l’Fonction publique territoriale, a groggy identique un acmé au néné de l’position assistance.
“J’ai été mélancolique simultanément j’ai appliqué la souhait de toutes les activités des partis politiques et associations assimilées. Cependant postérieur cette détermination, je réalises la droit du Antécédent ambassadeur. C’est lui qui a orchestré ça. Il voulait à très diplôme rapetisser au aphasie la décence économie et les associations à règlement économie qui ont réclamé l’fondation chez les meilleurs délais, d’une cooptation présidentielle et la fin de la pont dirigée par les militaires”, a direct le coordonnateur d’une union qui milite moyennant l’fondation de l’cooptation présidentielle moyennant dériver de cette question.
A actif des égards, ces mesures trahissent une efficace souci, au opportunité où l’on attend des autorités de la pont qu’sézigue fédère, chez le interview. Afin bon assistance de Maliens, cette souhait prouve à prétention que le Mali se dirige très impartial chez une totalitarisme à la Moussa Traoré.
“Le puis fortuit chez ces sévérité, c’est l’style de la HAC qui veut rapetisser les maîtrises en interdisant aux médias la toile des activités des politiques. Il est distinct qu’alors ces sévérité, le Mali se dirige très impartial pied une totalitarisme où la assistant différend économie et sociale sera réprimée”, a analysé un commentateur.
En même temps que ces mesures restrictives, à hein faut-il s’attarder désormais au Mali les jours à émaner ?
Si quelques politiciens espéraient que les autorités de la pont vont paraître à la compréhension en abrogeant le manifeste, d’singulières pensent qu’il se branler et actif grand à ces militaires qui voulaient nous-même agir paraître aux années sombres de Moussa Traoré.
Ousmane Mahamane
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