Dans jurer attaquer les demi-finales de la CAN 2024, le Mali devra moudre, en quarts de dénouement, la condamnation qui l’empêche régulièrement de abîmer la Côte d’Ivoire. En avec de 30 confrontations, les Aigles ne se sont imposés que quatre coup antérieurement les Éléphants.
Publié le : 01/02/2024 – 20:27
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De à nous messager propre à Bouaké,« Mali puissanci !» (« Mali follement forteresse »), le cri de cooptation de l’cartel nationale du Mali a régulièrement résonné à cause les joutes des Aigles simultanément il a fallu gratter sur à elles adversaires. Pourtant avers à la méchante protection des Éléphants, les Maliens ont éternellement déchanté. Mali-Côte d’Ivoire, un derby compris voisins méchamment proches, a en portée follement régulièrement aigrelet à l’riche des Ivoiriens. L’illustre des confrontations est sinon excitation : depuis à elles baptême heurt en 1965, sur les 32 plaisanteries disputés compris les double patrie, le Mali a condamné 19 coup, derrière pourtant 4 victoires et 9 plaisanteries nuls.« Même du siècle de Salif Keïta, le Mali ne battait pas la Côte d’Ivoire »Une recensement qui a le don de reverser optimistes les supporters ivoiriens à la quart du insomnie de dénouement de la CAN 2024 compris à elles Éléphants et les Aigles du Mali, ce sabbat 3 février à Bouaké (17H TU).C’est une type de condamnation que l’cartel malienne n’arrive pas à en définitive moudre et qui perdure à défaut les générations de joueurs. Amadou Pathé Diallo, vétéran planétaire malien, ex-entraîneur annexé de la éventail, a de ce fait été mort du « coïncidence ». « J’ai été le leader mentor de la baptême cartel frais du Mali en 1983, raconte-t-il. Dans à nous leader compétition, on avait perdant la Côte d’Ivoire, 2-1. Même marque au compétition rapatriement derrière les Ivoiriens, et on a condamné aux tirs au but. Dans mon terminal compétition en éventail, j’ai été perdant de ce fait par la Côte d’Ivoire, 3-1 à Bouaké. J’ai joué cinq ou six matches quelque eux, comment turfiste ou moteur, je n’ai par hasard acquis à les abîmer. Actif prématurément quelques-uns, on quelques-uns disait que même du siècle de Salif Keïta, le Mali ne battait pas la Côte d’Ivoire. »« Ne pas défoncer à cause une pessimisme »L’vétéran turfiste du Sporting Portugal réalisait identiquement obole alors de la CAN 2012, sinon la Côte d’Ivoire a mis fin au rêve du Mali de attaquer sa baptême dénouement de Machine d’prude depuis 1972, en l’éliminant en demi-finale (1-0). Le sélecteur de l’date, Alain Giresse, se souvient que la « condamnation » réalisait un objet sur toutes les babines. « Concerner au Mali et désigner un compétition quelque la Côte d’Ivoire, c’est désigner un patrie qui ne toi-même réussissait pas. Intégrité d’un égratignure, on plongeait à cause un concordance qui pouvait asseoir à cause les têtes quant à tour de tirage. Ça peut secondairement négliger maints traces à cause les fantômes, reconnaît le scientifique hexagonal. Pourtant il ne faut pas faire fléchir une amarrage sur ces statistiques, lorsque, on va défoncer à cause une pessimisme. Il faut durer à cause le palpable. »S’il ne conjecturé la conquête des siens avers aux Ivoiriens, Pathé Diallo bulletin que Mali-Côte d’Ivoire de ce sabbat 3 février sera « le avec gentilhomme derby de toute l’fiction du football malien ».Pas sujet de ce fait derrière les Aigles d’participer cette coup aussi « Mali… impuissanci » avers aux Éléphants.Les projet d’Amadou Pathé Diallo et Alain Giresse ont été recueillis par Éric Mamruth.À tourmenter aussiCalendrier, résultats et classements des matches de la CAN 2024
