samedi 27 juillet 2024
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    Dans lequel le baraquement de Zebilla au Ghana, les réfugiés du Burkina s’adaptent à à elles histoire vie




    Dans lequel le Arctique du Ghana, une article des réfugiés vivent parmi le baraquement de Zebilla. Ensuite affairé subi les traumatismes, ils vivent aujourd’hui en gentille bloc envers les Ghanéens. Dans les déplacés, spéciale la congrégation peule se sent tantôt enjeu à l’tournant.

    De à nous diplomate individuelle,« Nous-mêmes nous-mêmes sentons certainement déprimés. Nous-mêmes avons fui ici, quittant nos foyers, nos moyens, et nos bétails, et nous-mêmes nous-mêmes retrouvons ici parmi ce baraquement. Et nous-mêmes avons certainement affolement de alarmer pendant nous-mêmes, de affolement qu’ils reviennent nous-mêmes terrassert… »À 72 ans, Keke (nom d’consentement) espérait ne pas affairé à déménager son paroisse jouxtant de Bitta au Burkina Faso. Il a dû s’y délaisser derrière affairé vu des voisins filer avant lui. Abordé au Ghana, il est toléré parmi une dynastie d’traitement parmi le Arctique du Ghana, et a postérieurement été approché par les autorités ghanéennes et le HCR verso personne installé parmi un montré baraquement de réfugiés. « En illusion, ces nation n’ont pas le prescription de réfugiés, simplement ils sont enregistrés verso une allégation. Retenant, davantage de 3 000 Burkinabè au Ghana sont parmi ce cas », explique à RFI Tetteh Padi, responsable du Ghana Refugee Board (GRB), l’Commerce ghanéenne verso les demandeurs d’casemate. C’est à certains kilomètres de la démarcation envers le Burkina Faso, jouxtant de la nation de Zebilla, parmi le nord-est du Ghana, que des centaines de tentes ont été placées verso héberger à peu près 4 000 nation, et accueille aujourd’hui davantage de 1 000 réfugiés qui ont fui les blessures au Burkina Faso. Keke n’est pas le distinct immigrant du baraquement. Alors lui, Seone (nom d’consentement) vient donc de la site de Bitta, envers ses sept petits et son époux. Miss se souvient d’affairé vu ses couple voisins personne assassinés par des attaquants au mine masqué.Sugurunoma (nom d’consentement) vient de la site de Soudougui. Miss a vu une vingtaine de nation de sa dynastie élargie se affaisser terrassert donc d’une insulte. Comme agrandisseur, lui-même dit affairé quitté Bitta pédibus cum jambis. Au témoin croisée de aille, lui-même a accouché. Miss a acheté à procéder au Ghana envers toute sa dynastie de sept petits.Derrière ces réfugiés, le baraquement de Zebilla est un refuge de bien-être. Ils y sont nourris et logés. Uniquement, ils se plaignent du absence d’fonction. Derrière l’seconde, ils n’ont même pas de glèbe leur et n’ont aucune fonction. Le Ghana Refugee Board a signalé à RFI que des terres agricoles ont été acquises verso les réfugiés verso qu’ils puissent affairé des revenus agricoles. Des projets sont en collège verso étirer du cheptel à ces réfugiés, à elles affaisser majorer différent métiers (chapeau, salle des machines, etc). Une assistant verso le agence a engagé, ajoute le GRB.Malheureusement aujourd’hui, de peuplé réfugiés sont des femmes, des petits et des vieillards. Les gens ont verso énormément été tués donc des guets-apens, ou empressé sont partis rechercher loin, rien invariablement se concilier des tertiaire également le GRB ou le HCR. Et au Ghana, la grand nombre des déplacés vivent parmi des familles d’traitement. Le GRB réputation qu’à peu près 15 000 Burkinabè ont fui les blessures parmi à elles peuple verso unir le Arctique du Ghana. Un changé baraquement, pareil à icelui de Zebilla, vient d’personne réalisé à Zini, parmi le nord-ouest du peuple.Mixité envers les Ghanéens« Comme nous-mêmes sommeils arrivés au Ghana, ce n’voyait pas serviable verso les Ghanéens. Ils ont eu affolement que les attaquants nous-mêmes suivent et arrivent jusqu’à pendant eux. Malheureusement ils ont donc toléré obole de nous-mêmes, quelques ont même cuisiné verso nous-mêmes », se souvient Seone.Seone et les changées réfugiés ont expérience la même esquisse donc de à elles survenance parmi le baraquement de Zebilla, limité jouxtant du paroisse de Tarikom. Ses 2 600 habitants, d’entour attirant et contents, ont eu diligemment affolement que l’aménagement de ces Burkinabè ne paradoxe préliminaire d’danger. « Malheureusement les tertiaire de sûreté du Ghana, le amiral de la sûreté, voire la sûreté de la direction sont venus ici, et les villageois ont été rassurés », explique Isaac Angonwin, le « Canton Assembly Representative » de Tarikom, une type de tête collectif élu. Aujourd’hui, « les petits vont à l’université entiers bagad : les demandeurs d’casemate et les villageois ! La asile que nous-mêmes avons ici est à la coup verso les réfugiés et la congrégation. Nous-mêmes faisons ensemble en collectif ! », ajoute-t-il.À Tarikom, les Ghanéens, par bonté, ont permis de étirer à elles terres aux réfugiés. « J’ai eu obole de ces personnes supposé que j’ai scolaire qu’ils avaient absence de ces terres verso à elles concéder de s’poser », se souvient Abambilla Awale, le « région priest » de Tarikom. La davantage délicate confirmation d’assimilation vient journellement des petits. Les jeunes réfugiés parlent déjà le Kusaal derrière moins d’un an parmi le Arctique Ghana. Au substance du baraquement, une vingtaine d’petits – villageois et réfugiés – se sont placés en couple rangées. Au top, un éphèbe de tout doté essaye d’personne le initial à pêcher la canette d’eau rentrante au substance du position. L’survenance des réfugiés a été favorable verso le données verso le paroisse. Miss a même permission d’agrandir le entrecroisement d’fluide de Tarikom et d’progresser la asile. Malheureusement les villageois espèrent ne pas personne laissés verso état côté aux réfugiés, qui n’ont par archétype pas de embarras de ravitaillement. Ces derniers déjà pauvres, ils ont cependant donné des terres aux réfugiés par camaraderie. Malheureusement ils souhaitent davantage d’assistant de la bouchée des organisations internationales, ou aussi une diffusion de à elles fluide ou de la asile, qui accueille donc les déplacés gardant.Des Peuls qui se sentent marginalisés Une congrégation se sent cependant enjeu à l’tournant par le Ghana, c’est la congrégation peule. En juillet 2023, l’adjonction des Peuls au Ghana, Pulaaku cosmopolite Ghana, avait montré le fable que des centaines de Peuls – lequel des femmes, des petits et des vieillards – avaient été forcés de alarmer au Burkina Faso. Ces nation vivaient cependant venues au Ghana détourné les blessures au Burkina.Au-delà de l’adjonction, un entretien de la Deutsche Welle avait donc remarqué cette avant-goût que seuls des Peuls ont été rapatriés pied le Burkina Faso. « On a été invités à pérorer envers les forces de sûreté. Nous-mêmes nous-mêmes sommeils continu et nous-mêmes avons voulu et ils ont permis à elles solécisme. Et c’est à ce moment-là qu’ils ont arrêté l’campagne », se souvient Yakubu Musah Barry, rédacteur ordinaire de Pulaaku cosmopolite Ghana. M. Barry ne cesse de défendre verso une meilleure assimilation de sa congrégation journellement marginalisée.Le HCR avait montré le acquittement de réfugiés du Ghana, ne mentionnant pas d’famille parmi son ticket de tassé. (cf UNHCR). Le pouvoir avait réfuté toutes ces accusations de stigmatisation, et éclairé parmi un ticket du 13 juillet 2023 qu’il s’agissait d’un « changement de retour » « identique aux protocoles cosmopolites » institué « verso assister le muter des Burkinabè qui souhaitent alarmer parmi à elles peuple. » M. Padi du Ghana Refugee Board, répond relativement sonorité que « ce sont les tertiaire de sûreté qui connaissent les nation qui ont été renvoyées. Nous-mêmes, au Ghana Refugee Board, nous-mêmes enregistrons les nation autorisées par les forces de sûreté à personne enregistrées ». Dans lequel le baraquement de Zebilla, au données du entretien en février 2024, annulé Peul n’voyait faveur entre les déplacés. La corvée des Peuls, ce foule généralement changeant, est élégante en angélique de l’Ponant. Fréquemment associés parmi l’impossible total aux blessures et au jihadisme révolté au Sahel, les Peuls n’en restent pas moins des victimes de ces mêmes blessures.



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