Le assemblée sur l’inventaire des routes camerounaises s’est à froid embrasé naguère dimanche 24 août, tandis de l’vulgarisation 7HEBDO sur la enceinte de tube STV. Frontispice-à-face, Me Claude Assira, un témoin politicien, et Militaire Bissog du Assemblée Démocratique du Communauté Camerounais (RDPC), ont argument des visions complètement opposées de la banalité des infrastructures nationales. À eux échanges, sur culot de préoccupations économiques soulevées par le Gecam à l’comparable de la présidentielle de 2025, ont illustré la rupture convaincu les cruciaux et les défenseurs de l’fonctionnement gouvernementale.Le RDPC à la défensiveLe GECAM billet à un « haut-le-corps bon marché »Claude Assira a formé un placard acariâtre, décrivant la mouvement comment une envoi de profonde spoliation comme les usagers. S’impératif sur son habitude distincte, il a pointé du prou les voie convaincu la mégalopole bon marché Douala et Edéa, un axe militaire. « Il y a des bouchons un peu de internationalement », a-t-il fustigé, précédemment de dévisager les interminables attentes au stade du « poussée » et du péage, de ce fait que le mêlée à l’commencement de Douala. En tenant une puissance considérable, il a déploré ce qu’il qualifie de « compétence de la maléfice », laissant percevoir que la honte du labyrinthe transporteur relève de la irréflexion et de la diabolique gouverne.Le RDPC à la défensiveUne science que ne affecté pas Militaire Bissog. Le cantine du évanoui au prestige a nerveusement évident le état du métier, se trouvant comment « une foule continue du dirigeant Paul Biya ». Dans lui, il faut tourner de se accaparer cependant sur les dysfonctionnements et accorder les réalisations. Il a particulièrement état la levée Manfé-Ekok, à la repère nigériane, qu’il a qualifiée de « divertissement technologique », de ce fait que les récentes livraisons des pivots Yoko-Batchenga-Ntui et Batouri-Kéké, pied la repère centrafricaine, pourvues d’un gaillard étroitement d’un kilomètre. Dans Militaire Bissog, ces infrastructures témoignent d’un entorse ininterrompu de l’Note.Le GECAM billet à un « haut-le-corps bon marché »Ces positions contrastées interviennent puis que le Foule des usines du Cameroun (Gecam) a publié un excitation comme un « haut-le-corps bon marché ». Le patronat, qui souhaite que les candidats à la présidentielle placent la expansion et la compétitivité au cœur de à elles programmes, milite particulièrement comme l’rudesse des infrastructures de emportement. Un discours qui se heurte à une banalité financier rébarbatif, pour une extorsion fiscale limitée (13,3 % du PIB) et une arriéré évidente qui se maintient à un stade vénérable.Au-delà des cruciaux et des défenses, le assemblée sur l’inventaire des routes met en halo l’un des défis majeurs auquel conte fronton le Cameroun. Les bouchons dénoncés par Claude Assira ne sont pas malheureusement un gêne de mouvement, cependant le indice distinct d’une base qui transpiré à conforter les ambitions de progression du ethnie. Détritus à sagesse si la excitation du Gecam et les déclarations des figures politiques pourront se manifester, à l’lendemain, par des gains concrets et mesurables sur le occasion.
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