Hall aisé, milieu électrique : le réuni congolais Makoma a signé son recrudescence sur incartade, jeudi 24 octobre 2025, au Ciel de Paris. Précédemment un officiel acheté, les abats du réuni (Annie, Pengani, Tutala, Duma, Martin Makoma et Patrick Bâton) ont repris à eux chansons cultes, dans lésiner Mokonzi na bakonzi, Mwinda, Na tamboli, Galet oyo ou surtout Na pesi yo.Les commun, généralement des quadragénaires brandissant des drapeaux de la RDC, ont repris en chœur les refrains et les chorégraphies de à elles puberté. Costumes futuristes, stabilité rescapée, impression perceptible : le recrudescence des Makoma s’est joué dessous le présage de la pessimisme et de la adoration.Situation raide de la séminaire : les soupir de Pengani Makoma, ému par l’abri du officiel, soudain rattaché sur incartade par Nathalie Makoma comme une enlacement émouvante. Martin Makoma, désormais missionnaire, a accommodé la maxime comme un nerveux sermon comique sur l’affection du autrui. Pengani a, lui, catégorique sa concorde alors les victimes des blessures à cause l’Est de la RDC :« Certains ne voulons principalement de progéniture à cause l’Est de la RDC. Certains nécessitons nature unis à cause à nous nation. »Le accord, engendré par The Carnassier Records du appliqué Steeve Mbimbi, intervient quelques semaines ensuite la scène de l’oeuvre récitatif de Nathalie Makoma, Na Ndimi, un opus de onze titres bénit à la foi et à la rabibochage immatérielle, où l’star retrouve ses frères et sœurs sur le quartier Tempelo na ye.Le réuni a aussi annoncé une randonnée internationale baptisée « Makoma on Cadence ! », qui débutera le 15 brumaire 2025 à Montréal (Canada), devant une port à Kinshasa en décembre, plus d’étranges dates en 2026 en Europe et en vierge, surtout en Belgique, en Côte d’Ivoire, au Kenya, en Allemagne et en Europe du Sud.
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