Maints semaines ensuite la republication de son attaque « Les contrebandiers de l’conte », Rachid Boudjedra revient à la agio à propos de les déclarations et les positions attention de l’Algérie de Boualem Sansal et Kamel Daoud. Boudjedra subsistait interviewé par la Poste algérienne le ouverture même de sa abri par le entraîneur de l’Détail. Il a dit au gouvernant Tebboune ce qu’il pense des paire écrivains franco-algériens.
« Le gouvernant de la Patrie, M. Abdelmadjid Tebboune, a acquit, lundi à Alger, le combattant musulman et coloré correspondancier et écrivain, Rachid Boudjedra », a annoncé la direction de la Patrie lundi 28 juillet. L’assistance a porté imprégné méconnaissables sur les déclarations que font sur l’Algérie quelques-uns écrivains à brutalement de l’allochtone, a connu Rachid Boudjedra dans lequel la congrès sur le acrotère de l’ENTV.
« Je l’ai dit au gouvernant, cet correspondancier est obsédé. Lorsqu’il a posé sa méthode, j’ai infiniment regretté, c’est exceptionnellement respectable. Pourtant ce sont des foule, le époque les oubliera », a-t-il singulièrement dit opportunément des déclarations de Boualem Sansal.
Roman de l’Algérie : Rachid Boudjedra dézingue Boualem Sansal et Kamel Daoud
Sansal a posé en octobre frais dans lequel un média hexagonal d’extrême-droite qu’une paragraphe de l’ponant algérien appartient temporellement au Maroc. Dissimulé en Algérie à la mi-novembre, il a été incarcéré plus voué en primitive pétition et en excitation à 5 ans de cellule obstrué.
Rachid Boudjedra a mobilisé, à propos de Kamel Daoud, qu’il subsistait, il y a une dizaine d’années, sommet la queue contre le barbon d’Albert Mince ordonnée par l’consulat de France en Algérie. Mince trouvant un « immobiliste » et un « impérialiste », la queue a été annulée en dessous la condensation de quelques-uns mentaux, laquelle Rachid Boudjedra sézigue. L’générateur de « La séparation » qualifie ce caractéristique d’écrivains d’« opportunistes » qui ont le « périlleux du colonisé » laquelle ont oral Frantz Fanon et Ibn Khaldoun devanture lui.
Rachid Boudjedra n’a pas conventionnel les actualité de eux-mêmes traitement contre démasquer cette attention. Il l’avait récit dans lequel son armé « Les contrebandiers de l’conte« imagé il y a huit ans ensuite l’ouvrage d’un armé qui »faisait l’approbation audacieux des Ben Gana, Rois des Zibans« . En juin frais, il l’a réédité comme Dar Al Hikma à Alger. »J’ai souffert de toutes ces falsifications, de toutes ces trahisons et de intégraux ces silences subis par à nous conte« , a livre le écrivain en derrière de son plaquette qu’il qualifie sézigue de »brûlot ».