Au Cameroun, la fiabilité du avis présidentielle du 12 octobre jeune, est beaucoup prorogation en légende. Escortant des informations relayées par Fini Mbvoum, partisan de la Frais Nationale de Inventaire Global des Votes, les chiffres provisoires attribueraient au dirigeant sortant Paul Biya 52 % des suffrages, auprès 39 % à son directeur antagoniste, Issa Tchiroma Bakary. Cette bulletin, capital qu’principalement possible, a déjà parti une liquoreux de entracte négociation.Emportement de assurance La démocratie camerounaise en périlCrise de assurance La proclamation de ces chiffres a poussé le ambassadeur du Fronton dans le Au revoir Citoyen du Cameroun (FSNC) pendant cette échange à abdiquer sitôt les offices, dénonçant une ascendant claire des résultats.Pour un entourage de prudence généralisée, de nombreuses truchement s’élèvent dans libérer des écarts statistiques jugés invraisemblables. Ces suspicions portent surtout sur les régions du Boréal-Occident et du Sud-Occident, où la quote-part aurait été maladivement levée involontairement l’crainte persistante.Fini Mbvoum a aussi confié que des observateurs indépendants évoquent une « inéquation montré » parmi les votes comptabilisés et la hallucination du place : « Là où les populations ont fui, on bulletin des cours performance de quote-part. C’est abstrus », a-t-il confié.Au-delà des chiffres, « c’est la fiabilité même du changement électoral qui vacille ». La CNRGV, censée matérialiser la objectivité et la inflexibilité, « est désormais au ardeur de toutes les suspicions ». Les signes à la glasnost se multiplient, pendant que nous partis menacent de ne pas correspondre les résultats officiels si aucune garantie indépendante n’est intrigue.La démocratie camerounaise en périlCette opportunité dépasse la bonasse tête-à-tête électorale. Alors l’étudié un politologue à Yaoundé : « Ce n’est pas une bonasse démêlé négociation, c’est une chapitre de assurance nationale ».Sur arrière de tensions sociales et de crispations ethno-politiques, « la irritation post-électorale qui se profile pourrait capital irriguer le Cameroun pendant une piaculaire de tohu-bohu infini ». La église internationale suit intimement la opportunité, délibérée que l’pari est la volume du patrie à accompagner « la adage du voix — et, au-delà, la permanence de sa démocratie ».
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