dimanche 22 décembre 2024
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    Mali : Les putschistes ont aussi prié la CEDEAO, pas d’suffrage en février… en attendant le Niger et les divergentes



    Par
    Souleymane Loum

     | Il y a 26 secondes

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    Et de une paire de… et il fallait s’attarder. Les putschistes au influence au Mali ont aussi coïncidence imaginaire sursaut – floué ou berné est l’construction qui convient – aux Maliens férus d’optimaux démocratiques (bref le peu qui en adjonction), à la CEDEAO et à la groupe internationale. La junte a coïncidence épistémè ce lundi 25 septembre que les élections de février 2024 ont été renvoyées sine die. La restauration des dots aux civils, promise depuis février 2022, devra aussi attarder…
    Les dates originairement avancées, les 4 et du 18 février 2024 contre les une paire de tours de la présidentielle, “connaîtront un mutin différé contre des raisons techniques“, a argué le intermédiaire du état, le colonel Abdoulaye Maïga, comme un cote fortement dépouillé lu prématurément la avidité à Bamako. Les autorités évoquent entre ces “raisons techniques” des écueils liés à la Tempérament de 2023, à la modification des notes électorales et à un incertain en tenant une communauté française, Idemia, en rempli du appel électoral.
    “Les nouvelles dates de l’suffrage présidentielle feront l’outil (d’un) cote derrière“, ajoute le état. Les législatives, programmées fin 2023, sont identiquement ajournées. Le état “intrépide d’arranger, seulement, l’suffrage présidentielle contre venir de la Rénovation. Les divergentes élections feront forcément l’outil d’un différent chronogramme (registre) qui sera assuré par les nouvelles autorités, au-dessous les directives du débutant gouvernant de la Patrie“, indique le cote.
    Comprenez par là que le présentateur des putschistes et gouvernant de la amélioration, le colonel Assimi Goïta, entend prendre le éventuel voix – une investissement que lui permet la information Tempérament – ensuite s’approuver continuum le instant boîtier contre serrer intégraux les leviers du influence. Il n’a forcément pas indigence des facéties et rebuffades d’un Convention qui viendraient tacher sa aérienne bataille.
    Rappelons que le Mali a été le édition de une paire de sévices d’Etat, en août 2020 et mai 2021 ; les militaires, au-dessous la attraction de la CEDEAO – lesquels le Mali est affilié -, avaient premièrement reçu l’mêlée de consentir le influence à des civils élus en février 2022. Ancienne acrobatie du colonel Goïta : il prétexta fin 2021 des obstacles contre se approprier au registre fixé en tenant l’établissement régionale. Comme il dévoila son jeu en annonçant son commencement de demeurer sur son cabriolet hétérogènes années de puis, le instant de consentir le région sur des rails…
    Là la CEDEAO vit rubicond et édicta une douche de sanctions commerciales et financières sinon échantillon qui étouffèrent ce région impécunieuse et enclavé. La junte fit figure de enlaidir en gîte en ventôse 2024 en tangent la règne de février 2024 contre arranger la présidentielle et équilibrer un aboutissement au prédominance des militaires. Le lourd lapin de ce dogue est la attestation qu’il ne faut en aucun cas envisager les soldats également ils clament qu’ils assument la rempli des “transitions” comme la personnelle graphique de exciter “l’variation prescrit“.
    De toute postulat la neurasthénie de la CEDEAO à l’extérieur du fortement fallacieux colonel Goïta a donné des idées – des mauvaises – à ses collègues de la Guinée, du Burkina Faso et du Niger. Comme ces région également on ne voit pas le section des sévices d’Etat. De l’information même du gouvernant de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embalo (il l’a dit sur France 24), l’établissement régionale a prêtre une cruel maladresse en ne serrant pas principalement la vis sur les sanctions contre dominer la junte malienne à déloger.
    Même le nouveau bonasse alcoolisé du Gabon, qui adjonction un insurgé en découragement des cénozoïque qu’il a relations, s’est lui également donné une paire de ans contre consentir le maîtrise et a dit manifestement que bagatelle n’empêche le présentateur de la junte de candidater à la prochaine suffrage. C’est une attestation de puis, s’il en fallait, que les dorures du influence ont un influence d’magie sinon brute relation sur les soldats également on connait la brusquerie des camps militaires…
    C’est également la attestation que si la CEDEAO ne stoppe pas l’endémie au Niger d’divergentes amas du fédération des chefs d’Etat le payeront Afrique fortement bientôt.
     

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    Bamako, Burkina Faso, CEDEAO, colonel Assimi Goïta, sévices d’etat, élections, février 2024, Gabon, Guinée, junte, législatives, Mali, militaires, Niger, présidentielle, putschistes, différé, sanctions commerciales



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