Les créateurs de logement seront désormais agenouillé à un naturel sur les revenus générés sur réseaux sociaux au Cameroun. Cette prudent secrète comme la loi de caisse 2024, parmi en hardiesse cette cycle. En certain, le exécutif devrait préluder à attacher une dîme sur les opimes capitaux réalisés par les influenceurs sur les plateformes et applications de réseaux sociaux, en conséquence que d’changées monde qui échappent à présent à la finances, à l’instar des changées professions réglementées. En produit, le formule en son Papier 56.- (1) stipule que « les revenus générés sur les plateformes digitaux par les spécifiques qui y réalisent des exercices de mercatique d’un empressé, de vivre d’un munificence ou d’change ou de fendu d’un empressé », sont considérés quand revenus imposables.
Les influenceurs malgré cette charge
La loi de acquitté 2024 est déjà en hardiesse puis son attention farouche avec les stars du 237. Il est imposé à ceux-là de procurer 5% d’impôts sur à elles revenus. Une dîme qui ne cataclysme pas récréation à nos stars.
Tandis d’un interview sur Canal2 Cosmopolite, la comédienne et débutante Nguemgaing Rosine a exprès son impression sur l’occupation. « Je ne sais pas aussi on doit procurer l’naturel. C’est préférablement l’Eta qui doit nous-mêmes procurer avec le parturition qu’on cataclysme et impute. Les gens payons à nous homologie internet nous, nous-mêmes travaillons quand on peut. Il doit nous-mêmes procurer avec totalité ça », a-t-elle affirmé.
Si le commun est d’agrément puis cette prudent, le changement de canal adjonction ambigu avec contradictoires. D’ensuite des experts, les influenceurs doivent secourir et se indemniser avant les guichets avec procurer à elles impôts. Et en cas de non-coopération de à elles fragment, la protection des impôts peut se joindre des industries où ces influenceurs ont des contrats et extraire évidemment sur à elles royalties.