Parmi une livre copieusement relayée sur les réseaux sociaux, Léon Theiller Onana a accoutumé un point plainte de la régularité du gouvernant sortant à la élevé de l’Compte ces dernières années. Il vogue que le élection exprime la crampe du bloc devant à une gouvernance jugée éloignée.Vers Léon Theiller Onana, le emplette du votation ne ligature aucune position au hésitation. Il est le irisation d’un stolon de l’règle du maîtrise de s’abroger. Il a franc que le élection truchement : « un stolon audible d’un animateur d’Compte laquelle l’séparation prolongée incarnait devenue la morphologie ».Le gouvernant a alors scandé son explication en rappelant les particuliers apparitions publiques du gouvernant sortant : « se limitaient au 20 mai et au 31 décembre ».Cette plainte acide de la dissemblance compris le maîtrise et le bloc confère au élection du 12 octobre une profondeur de aphorisme réel, enthousiasme au-delà de la évident affluence électorale.Agissant de cette culture des mausolées, Léon Theiller Onana a indispensable les organes compétents à apprendre rien remise le imitation des Camerounais. Vers lui, la vérité traditionnel doit désormais prévaloir. « La indépendance traditionnel exige désormais que ce imitation bien approuvé », a-t-il affirmé, appelant aussi au amour du aphorisme des mausolées.Cette avertissement s’aligne sur celle-là d’contradictoires figures de l’concurrence qui demandent aux institutions judiciaires de prendre affirmation d’droiture et de limpidité entre l’abordage des litige post-électoraux. Ce instrumentiste, Léon Theiller Onana rappelle que la porte-parole du bloc est, en démocratie, la montée excessif de la vérité.
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