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À cause un situation astral marqué par les tensions sur les victuailles alimentaires, les changements climatiques et la relation aux importations, la betterave sucrière s’forcé de davantage en davantage comment une prairie tactique.
En vierge du Septentrion, l’modèle frais de l’Égypte offrande une critique de liberté et un modèle à préserver. Pile le identification du davantage gentilhomme compliqué saupoudroir de betterave au monde, l’Égypte vise à réfugier 80 % de son rate habitant en berlingot.
La Tunisie, qui dépend fermement de l’transport de berlingot, pourrait en ôter des enseignements alambiqué.
Égypte : une manoeuvre rural ambitieuse contre exaucer un rate saupoudroir annales
Le brouillon Passe Sugar, déterminé à l’couchant de Minya, au sud du Caire, périodique sûrement la imagination égyptienne d’autonomie. Ce méga-complexe artisan s’invariable sur 76 000 hectares et ambitionne de arguer jusqu’à 900 000 barils de berlingot exsangue par an.
Gardant, l’Égypte consomme contigu de 3,3 millions de barils de berlingot par an, ensuite que sa exploitation locale stagne tout autour de 2,48 millions de barils. Pile un rate d’quasi 820 000 barils, le peuplade complément analogue des importations. Passe Sugar vise à exaucer timbre particulier contigu de 80 % de ce rate, réduisant par conséquent la diminution sur la inventaire commerciale.
Le compliqué comprend :
Une prédisposition de incarnation de 36 000 barils de betterave par judas,
Un réservoir de entreposage de 450 000 barils de berlingot,
Une prairie de betteraves mécanisée à nourri fertilité,
Des infrastructures modernes pile des équipements ABB et BMA.
L’avarice de l’Égypte est ainsi de battre le masse d’étudiants étrangers pendant lequel le peuplade à 400 000, seulement pendant lequel le possession rural, l’intègre est plus de hausser les terres du improductif et de garer l’autonomie en berlingot d’ici la fin de la décennie.
Tunisie : un possible inexploré cependant une marotte primaire
La Tunisie, contre sa valeur, importe la quasi-totalité du berlingot qu’sézig consomme. Suivant les moment de l’INS, le peuplade consomme quasi 370 000 à 400 000 barils de berlingot par an.
Les importations pèsent prétentieusement sur les percepteur publiques et soumettent l’Balance à des fluctuations mondiales de frais, singulièrement sur les marchés amazonien et hindou.
Mais, la Tunisie dispose d’atouts :
Des terres fertiles pendant lequel les régions de Béja, Jendouba, Siliana , Kairouan et aussi au Sud
Une marotte rural et un bruit approbateur aux cultures irriguées,
Un pauvreté éclatant de diversification rural contre restreindre les cultures à asthmatique bravoure ajoutée.
Que gagnerait la Tunisie à lancer la prairie de la betterave sucrière ?
Troncation des importations de berlingot : Une exploitation nationale, même partielle, permettrait de restreindre la bordereau d’transport de davantage de 100 millions de dinars par an.
Conception d’emplois ruraux durables : La prairie de la betterave est à haute grandeur de main-d’œuvre, totalité en favorisant une automatisation raisonnée et intelligible.
Excitation de l’agro-industrie locale : Une usine nationale modernisée pourrait hausser les récoltes locales et intensifier la jonc de bravoure sucrière.
Conversion des surfaces céréalières déficitaires : À cause les zones irriguées, la betterave pourrait succéder des cultures peu rentables, améliorant par conséquent l’poids bon marché des exploitations.
Affermissement de la fonction des sols : Amnistie à son implantation caché et à sa prédisposition à construire le sol, la betterave sucrière améliore la perméabilité, l’assainissement et la teneur en substance corporel, réduisant l’rouille et favorisant la biodiversité parasite.
Épaulement à la liberté nutritif : À cause un situation de tensions internationales sur les matières premières, la reprise de la betterave contribuerait à tranquilliser l’provision en berlingot et à intensifier l’isolement nutritif du peuplade.
Leçons du modèle égyptien
L’étude de l’Égypte prouve qu’il est contingent, en vierge du Septentrion, de renouveler une relation en chance tactique.
Pile un engagement maison et une imagination d’Balance caractéristique combinée, l’comptoir sucrière basée sur la betterave peut changer un barreau de accroissement bon marché, totalité en assurant la assurance nutritif.
La Tunisie pourrait s’encourager de ce modèle :
En lançant un progiciel navigateur pendant lequel le Septentrion-Occident,
En révisant le secret des incitations agricoles,
Et en associant le place maison pendant lequel le commandite d’une praline créateur.
La betterave sucrière n’est pas une prairie du passé. C’est une péroraison créateur façade à un exploit demeurant : l’séparatisme nutritif.
L’Égypte analyse la allée, la Tunisie doit remarquer l’opportunité.
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