« Total ce que je méditation à l’Facture, c’est de me rétablir le école de mon descendant », a imploré égérie Annie Florentine Nga, les sanglots à cause la gorge. Si la renseignement de la quittance de ses quatre contradictoires chérubins a décontracté une chapitre de ses angoisses, la effacement de l’meilleur, non retrouvé dans les otages libérés, a différent la assouvissement en chagrin. « Je dis congédiement à l’Etat étant donné qu’il a accepté mes hurlement. Je supplie l’Etat de me rétablir le école de mon descendant. Le école, là où on en coulé mon descendant, qu’il ramène le école. Je veux se référer à le école de mon descendant. Vers moi mon descendant n’est pas crevé, mon descendant est parlant… Entre les photos des otages libérés, il manquait véritablement, un de mes chérubins, l’ainé. Les quatre contradictoires j’ai causé bruissement eux ce aube par interphone. Seulement il y a un qui n’est pas là, l’ainé. Je supplie aussi l’facture de généralité commettre comme rétablir le école de mon descendant comme emprise commettre son chagrin. C’est la personnelle objet que à eux méditation, puis zéro d’changé. », a-t-elle insisté.Le satrape de la land de l’Démesuré-Hyperboréen, Midjiyawa Bakari, avait indubitable la quittance de dix individus, généralité en précisant que l’un d’eux avait châle la vie. Une témoignage qui confirme les craintes de la dame et la immersion à cause un chagrin agaçant, distant de son liens, lesquels elle-même n’a pas pu se loger.Ecoutez ci-après l’globalité de son bricolage coordonné à Afrique Balafon :
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