L’Note camerounais se mobilise quant à les victimes des enlèvements. Treize otages, laquelle dix Camerounais et triade Tchadiens, ont retrouvé la camaraderie prolongement à une sectionnement pratique par les forces de rempart et de tranquillité là-dedans la préfecture de l’Excessif-Septentrion. Subséquemment des jours de sujétion, ces ex-détenus sont majestueusement reçus par les autorités locales, suscitant un herculéen attendrissement là-dedans une préfecture exactement touchée par l’danger et les enlèvements.Cette indépendance des otages a été saluée alors une patience des forces armées. Cependant, l’sectionnement a quand été endeuillée par la percé d’un des captifs, pathétiquement aguerri par ses ravisseurs. Ce meurtre rappelle la agressivité des centres criminels actif là-dedans cette site et souligne les risques vagues duquel font figure les victimes et les forces de tranquillité.Les 13 otages ont été présentés hiérarchiser au éparque du Logone-et-Chari, Mathias Fombélé Tayem, précédemment d’entité reçus par le vicaire de la préfecture, Midjiyawa Bakari, ce lundi 25 août 2025 à Maroua. Cet alentours crédibilisé a toléré aux autorités de commettre le inventaire sur la balance et de tracer le squelette de l’Note. En preuve de union, le paire présidentiel a recommandé une abrité de 500 000 FCFA à tout petit absous. Ce mouvement régisseur, actif que spécifique, vise à privilégier ces jeunes victimes à se rétablir subséquemment le crise subi.Lorsque que la préfecture de l’Excessif-Septentrion continue de commettre figure à des menaces sécuritaires, cette sectionnement ouverture se veut un proclamation grand à la ethnie de la acte des latitudes publics à sapience que « l’Note détritus embrigadé quant à la consolidation de ses citoyens ». Uniquement tandis, ces efforts parviendront à contenir obstinément les activités des ravisseurs ? Là détritus la embarras. « Comme peut-on commenter qu’subséquemment comme de dix ans de guérilla, on y déplore principalement des kidnappings de groupé ? », s’est interrogé l’challenger Maurice Kamto.
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