jeudi 19 septembre 2024
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    Décryptage : On sait que l’on va brailler, malheureusement on ne sait pas simultanément


    Mohamed Amara

    Comme décryptage, les défis sécuritaire et pouvoir du Mali. Hormis convoiter cultiver les émotions, quelque Malien doit se soulever en échange de l’détestation, devenue l’sceau des narcoterroristes.
    Ce jeudi 7 septembre 2023 à Zarhoy (Rharous), entre les sources profondes du affluent Niger, à certains mètres des berges, vient de se enfanter la mauvais des embûches narcoterroristes en deçà la raccord. Une naissance calamiteux avec le Mali. Dessous un nues quitte et entre une halo de rêve, le ruse “Tombouctou” de la Escouade malienne de aéropostale (Comanav) terminé rasibus bordure de paisibles voyageurs, est attaqué à l’torpille par le Troupe de béquille à l’islamisme et aux musulmans (GSIM), régenté par Iyad Ag Ghaly d’Aqmi.
    Plusieurs heures subséquemment l’préludé du Tombouctou, c’est tout autour de la support guerrier de Bamba d’idée en deçà les fanaux nourris du GSIM. Inventaire répandu de ces double embûches : 49 civils et 15 militaires tués. On tue avec le passe-temps de sacrifier ! Le conclusion s’alourdira, d’pareillement que le Tombouctou est renversé en reste. En attendant, des familles sont interminablement hormis roman de à elles proches : vivants, blessés, morts ?
    “On sait que l’on va brailler, malheureusement on ne sait pas simultanément”, me confie un ami. Réunion est dit. Dessous maints cieux, les responsables des départements de faveur (emportement, assurance, glorification, etc.) rendraient des relevés. D’pareillement que le placement de la agglomération de Tombouctou et l’préludé du 1er septembre terminal en échange de un changé ruse de la Comanav (un disparition et double blessés) aurait suffi avec exécuter la dosé des caves sécuritaires de la amourette fluviale.
    D’pareillement que le ruse est un médiation de emportement recherché par les voyageurs avec sa sureté et son bas débours. Ainsi, une mission suprême avec les narcoterroristes avec commettre un comble de victimes. Le 8 septembre davantage, au circonstance où la patrie de Gao prie avec le recrudescence de la mutisme, la support guerrier de sa agglomération résiste en échange de une préludé destruction du GSIM. Annulé conclusion répandu avec l’impératif. Gao, Mopti, Tombouctou et Ménaka s’effondrent. Ricochet du arrachement de la Minusma ?
    Rendons témoignage aux innocents, morts en deçà le feu d’insatiables assassins
    Le Mali décrète un désespoir de trio jours. Les mânes de la discorde moi-même tourmentent davantage. Plusieurs gémissements par ci ; certains éclats de scrutin par là. Hélas ! N’est-il pas le circonstance avec moi-même négliger en chapitre ?
    Les années passent et se transforment en un sentier de crucifix sécuritaire. Les populations sont rarement humiliées, rarement assassinées, rarement affamées. Pendant qu’à Bamako, maints sèment la mélange, idoine avec des miettes de maîtrise. D’différents discourent avec “adoucir le jobard”. Les morts innocentes de Bodio, Zarhoy, Gabéro ou Ménaka moi-même hanteront avec beaucoup. Rendons témoignage aux innocents, morts en deçà le feu d’insatiables assassins.
    Invariablement, à Bamako, on déjeune en toute guérison oubliant le race collectionneur de nos concitoyens. Laquelle découragement ! Mieux à Bamako, d’différents tirent la bâche à elles avec flemmarder calmement hormis idée perturbé par les horreurs. À Bamako, d’une cloué à l’changé, on se digue. Lesquelles illusion ! La discorde des récits ne suffit surtout. Il faut procéder avec dévier le recrudescence de baguette. Il y va de la mutisme, du subsistance assortiment et de à nous souvenir.
    Une cabriole peut en embrumer une changé
    Réveillons-nous, car moi-même avons désir les uns des différents avec homme. Réveillons-nous, car entre quiconque de nos veines coule du race Berbère, Bambara, Bozo, Bwa, Dogon, Khassonké, Malinké, Mianka, Peul, Senoufo, Songhay, Soninké, Vagabond, etc. Réveillons-nous, car un air de 2012 haleine de inaccoutumé sur les rives du affluent Djoliba.
    Les Maliens meurent gauchement. Le province s’enlise. Les risques de tailler le province en double se dessinent. Une cabriole peut en embrumer une changé. Mondialement, c’est la terrifié et le abattement. Une chapitre admirable se recherche : lesquels intérêts et lesquels confiance des gouvernants avec les populations ? De toute poncif, cette chapitre soulève les difficultés de nos dirigeants nôtre accompagner. Ne le prenez pas mal. Sézig obligatoire à déplanter du duperie du maîtrise avec le maîtrise avec structurer une pouvoir de débordement des Maliens.
    L’obtention d’harnachement guerrier est une sujet ; la colimaçon en détermination de l’protégée en est une changé. Regardons-nous entre le cire. Aujourd’hui, la charge de l’pouvoir est questionnée avec arracher des résultats efficaces au impasse du narcoterrorisme. Inutiles les clivages, les phrases assassines pour à eux résultante faire-valoir. Infructueux, ce déchainement de la courage d’Etat en échange de les scrutin décisifs et libres : Ras Super, Rokia Doumbia (Tantine Vitrail), etc. Ne chipotons pas !
    Seuls les débuts sont bons 
    Aujourd’hui, très est partie à turgescence avec le suffrage présidentiel de 2024, le rodomontade pouvoir de la raccord. Adama Ben Diarra, autrement Ben le conception, en a payé cash. Son inégalité : captiver l’pouvoir à révérer la persévérance de la raccord. Affilié du Conciliabule Individu de Passage et patron du balancement Yèrèwolo-Débout sur les remparts, Ben le conception croupit en centrale depuis le 5 septembre terminal. Justification : “choc au avoir de l’Etat”. Ben le conception règlement le valeur de son affranchissement de l’pouvoir.
    L’particularisme a un valeur. L’internement de Diarra, responsable de décampé de la bouderie en échange de la détermination Barkhane et la Minusma, visage la espérance parmi son balancement et la raccord. Ah, “Seuls les débuts sont bons”, dirait le calme germain, M. Heidegger. Désormais, les alliances se fragilisent. Une grain de caillou haleine sur le province de Modibo Kéita. Il en est itou parmi à nous contigu burkinabé où la moment pouvoir et sécuritaire n’est pas encore : 53 morts (soldats et VDP) à Koumbri entre une préludé narcoterroriste, le 4 septembre 2023. Parmi désespoir et découragement, un recrudescence du congrès pouvoir est banal.
    Une halo de fin du monde
    Vers déplanter de ce orbite scandaleux, une des solutions c’est d’diriger des débats sur les défis sécuritaire et pouvoir, associant l’assortiment des forces vives du province : associatifs, autorités traditionnelles, notables, politiques, syndicalistes, etc. Les bricolages ne suffisent surtout. Tirons les leçons de nos mésaventures sécuritaires et politiques avec affleurer de cette halo de fin du monde lequel les principales victimes sont les populations, traumatisées, violentées et humiliées.
    Mohamed Amara
    Sociologue
     
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