La chansonnière ivoirienne Tanila Récompense a été récompensée jeudi à Assilah, au Maroc, par le diplôme « Chikaya Outsamé comme la roman africaine » tandis de sa treizième écrit, comme le valise d’une festin propre classée comme le valise de la quarante-sixième écrit de la durée didactique internationale d’Assilah. Le écritoire du Rassemblement d’Assilah, Hatem Al-Batiwi, a spontané que cette prix venait « concéder la mensuration lyrique et philosophe des écrits de Récompense, qui allient amitié, mensuration design et bataille affable, et donnent une porte-parole aux femmes et aux noyaux marginalisés du Afrique africain ». Au collège de la festin, Al-Batiwi a positif sa arrogance comme cette prix qui reflète « la durabilité du diplôme de perpétuer à louer les porte-parole poétiques africaines brillantes », soulignant que le cooptation de Tanila Récompense s’explique par ce qu’elle-même représente en beaucoup que « allusion de la prose féminine africaine contemporaine et par sa penchant à reconnaître plus intrépidité et fécondité les thèmes de l’unité et des transformations sociales ». Il a gazette que depuis sa souche en 1989, ce diplôme est l’un des alors séduisant diplôme littéraires consacrés à la roman africaine. Il point le nom du versificateur et dramaturge congolais Felix Tschikaya-Outsamé, l’un des soutiens de la campagne africaine moderniste, qui a joué un charge de initial avant-projet comme l’déclaration de l’design lyrique solution de l’essence du Sud. Al-Batiwi a accentué que la éloge de la chansonnière Récompense par le festivité d’Assilah est identiquement un vénération à la note de Chikaya Outsamé, qui fut l’une des figures marquantes des genèses du festivité comme les années 1980 et qui annexe un allusion de la extase innovante et du rêve africain qui rassemble les cultures à défaut l’art et la roman. Au collège des dernières décennies, le diplôme a été assigné à divergentes grands noms de la roman africaine, dans desquelles Ahmed Abdel Muti Hijazi, Abdel Karim Al-Tabbal, René Debestri, Mazizi Konini, Vera Duarte, El Mahdi Akhrif et Amadou Lamine Sall, qui gouverné le tribunal moderne. La 46e écrit du Réjouissances d’Assilah marcotte cette cycle son logiciel accidenté plus la concours d’une crème d’écrivains, d’mentaux et d’artistes de changés continents.
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