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La 26ᵉ ouvrage des Journées théâtrales de Carthage a été inaugurée entre la symposium du sabbat 22 brumaire à la Mentionné de la Prairie à Tunis, en assiduité de varié artistes, créateurs et mentaux venus de Tunisie et de l’extrinsèque.
Le commandant de cette ouvrage, Élaguer Argui , a effilé un approbation entre dont il a appuyé que cette journal concile se tient au-dessous le propagande : « Le littérature, loyauté et articulation… le littérature, battement de la rue ». Il a affirmé que le littérature home un éloigné d’énonciation, de rêve et de recouvrement de la invulnérabilité initiale de l’individu indulgent. Il a précisé que les spectacles programmés portent les opinion de la Tunisie, du monde sémite, d’prude et d’dissemblables horizons, reflétant des expériences, des visions et des interrogations en similitude puis les jeux humains actuels. Il a insisté sur la impératif de patronner le redevoir entreprenant du littérature façade à l’blocus et à la alerte.
Argui est autant profit sur la modalités à Gaza, appelant à renfermer vivante la exégèse palestinienne en beaucoup que conflit inclusive de la loyauté libérale. Il a mobilisé que l’art est un récépissé de fermeté et que la embrasement peut sézigue pareillement individu une domination de direction.
Le commandant du solennité a illustré que le software conservation ses sections habituelles, intégral en introduisant cette cycle, moyennant la étrenne jour, un Tribune scénique universel titrage « L’protagoniste de littérature : son moment et ses œuvres », saisi dans un éloigné de renvoi sur la rapprochement parmi le artiste et son bruit. L’ouvrage propose autant sept ateliers oeuvres encadrés par des spécialistes, par conséquent qu’un assemblée offert aux recherches théâtrales jambage sur les thèses de titre entre les universités tunisiennes, en squelette à la soigné constructeur.
La festin d’aperture, bavarde par le romancier Wathik Bellah Chaker, a été exposée par l’adoration courbaturé à distinctes figures du littérature sémite, africain et tunisien. Entre les hommes honorées figurent les artistes arabes Latifa Ahrar (Maroc), Imad Mohsen Ali Al-Shanfari (Sultanat d’Oman) et Abdelrahman Kamati (Côte d’Ivoire), par conséquent que Leila Rezgui et Fathi Al-Akari de Tunisie. D’dissemblables artistes tunisiens ont autant été distingués : Ali Khemiri, Lazhari Sebaï, Slim Sanhaji et Hadi Boumeïza (avare de chariot).
La festin a autant été l’veine de payer adoration à des créateurs tunisiens disparus pourtant lequel l’émotion codicille animée entre le étendue instructif, qu’sézigue ou bien théâtrale, filmique, télévisuelle ou controversé : Ahmed Hadhak Al-Arf, Fathi Al-Haddaoui, Mohamed Fadhel Jaziri, Anouar Chaâfi, Faraj Chouchane, Abeer Al-Jebali, Omara Melliti, Salah Al-Bourjini, Mokhtar Mallah, Tawfik Al-Hammami et Mohamed Ali Belharath.
Un pièce symétrique titrage « Jloud » avait alerté la festin authentifiée en arrivage d’bientôt sur l’acheminée Habib Bourguiba. Cette gain a mis en ci-devant une nationalisme harmonieux tunisienne aux influences arabes et africaines, traduisant l’interdépendance de la Tunisie aux double espaces.
À l’leçon de l’aperture, le évident de cette ouvrage a assisté au Amphithéâtre de l’Drame à la reproduction égyptienne « Le Roi Lear », interprétée par le aristocrate figurant Yehia El-Fakharani, costume en podium par Shady Sorour et produite par le Amphithéâtre individu égyptien.
Un assesseur pièce d’aperture a été présenté à la foire du cinéma-théâtre Le Rio, signé par le duo Jalila Baccar et Fadhel Jaïbi, au-dessous le cartouche « (Le) Rêve… Mièvrerie noire ».
Le software de cette ouvrage comprend 12 spectacles en concours authentifiée, 15 spectacles entre la élément « Amphithéâtre du monde », 16 listes tunisiennes, 6 productions arabes et africaines, 12 spectacles moyennant petits et jeunes publics, par conséquent que 6 listes d’amateurs. S’y ajoutent 16 spectacles entre la élément « Amphithéâtre de la autogestion », habituelle aux œuvres créées entre les prisons et groupes de correction, en appui puis l’Pilotage avant-première des prisons et de la correction.
Les 12 spectacles en concours authentifiée concourent moyennant sept récompenses : le Tanit d’or, le Tanit d’attestation, le Tanit de bruni, par conséquent que les valeur du « Originel écrit », de la « Meilleure scénographie », du « Originel redevoir femelle » et du « Originel redevoir garçon ». Les œuvres seront évaluées par un tribunal universel présidé par le Tunisien Lassad Ben Abdallah, et mélangé d’Imed Elmi (Tunisie), Saadiah Al-Daas (Koweït), Malik Al-Agoun (Algérie), Abdon Fortuné (Congo) et Thamer Al-Arbid (Syrie).
La Tunisie est représentée entre la concours par double tonnes : « Les Fugitives » de Wafa Taboubi, dernièrement récompensée par les valeur du « Originel pièce » et du « Originel redevoir femelle » tandis de la inconnue ouvrage du Solennité individu du littérature tunisien ; et « Palissandre » de Nizar Essidi, gagnante de trio valeur – « Meilleure costume en podium », « Meilleure scénographie » et « Originel écrit » – entre le adéquat de la même floraison.
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