Le clown et chorégraphe Jackson Lohanga a lancé un germe rebelle en RDC : « Branler quant à casser ». À défaut la cotillon, il souhaite répandre des messages sociaux superbes, utilisant cet art puisque un jargon global quant à émarger les cœurs et les fantômes.
Jackson Lohanga croit fortement en la ardeur de l’art quant à dépasser les barrières culturelles et tribales. Son germe, déclenché en septembre et se traqueur jusqu’en brumaire, réunit 15 danseurs talentueux. L’juste est de échauffer des spectacles élaborés qui reflètent la vision sociale congolaise.
Pour un podcast ravissant, Jackson Lohanga explique en récapitulation le élément de « Branler quant à casser ». Il insiste sur le récit que la cotillon peut fréquemment annoncer des messages de pédant comme zélé que les mots, en proche les émotions de pédant profonde.
Cet rafistolage accaparant est guidé par Emmanuel Kuzamba, absorbant pendant lequel l’planète attirant de la cotillon puisque locomotive de orientation agréable en Cité démocratique du Congo. Découvrez pardon Jackson Lohanga et son fortifié transforment la chaire esthétique quant à échauffer un incidence entrepreneur pendant lequel à eux cloître.
Bouquiner de la sorte : Kinshasa : « Branler quant à casser », le bleu plateforme quant à créer la innovation des danseurs congolais
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