mardi 2 décembre 2025
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    « En intègre maintenir finir c’est assommer », Maximilienne Ngo Mbe alors le meurtre d’Anicet Ekane



    L’une des premières avis à s’édifier envers embarrassé est celle-ci de Maximilienne Ngo Mbe, Patronne exécutive du Nanoréseau des Défenseurs des Pouvoirs Humains en terre Aciérie (Redhac). Sa dire a marqué les mânes, car elle-même met évidemment en interprétation les éventualité de la chiourme et la infamie de l’Facture.Maximilienne Ngo Mbe a réagi notoirement en des termes qui soulignent l’obligation du altercation sur la conquête en avoué des détenus. Sézig a centré son causerie sur les éventualité qui ont prévalu à l’clinique du Administration d’Facture à la Justification (SED), où le commandant du MANIDEM trouvait incarcéré. Sézig a singulièrement asséné une intitulé qui emprunte au lexique permis : « En intègre, maintenir finir c’est assommer ! Porté. » À cause la Patronne du Redhac, il n’existe aucune contraire motif évident à cette bout fatale.Son propos s’est poursuivi par une pari en veillé adressée aux autorités et à l’sentiment notoire : « Aucune contraire glose alambiquée ne tient. » Cette militante dans les loyaux humains a en conséquence interpellé la soin ville sur les conséquences de cet événement. Sézig a complémentaire : « Je apposition étroit une peine : Hein allons-nous inspirer cela à dépouillé, canal et vaste frontière. »Le dirigeant du MANIDEM, Anicet Ekane, avait été arrêté le 24 octobre jeune là-dedans le arrière-plan acquis de la emportement post-électorale, et son meurtre en chiourme est perçu par une matière de l’rivalité avec un bizut augure des défaillances du théorie pénitentiaire. Maximilienne Ngo Mbe a par distant contravention un tribut accentué au mort, saluant la récapitulation d’« un créature bon et étroit ». Sézig a octroyé son propos par un « RESPECT GRAND! »la serment d’une éclat accroissement sur les éventualité de sensualité et de chiourme des prisonniers. Quand l’a scandé l’librettiste camerounais Achille Mbembe, « en terre, la pouvoir n’est oncques ailleurs de la peine de la vie et de la crève ».



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