Ernest Obama a direct rien périphrase, dessous les regards médusés des contradictoires panélistes : « Il y a de peuplé jeunes Camerounais qui sont généralement en cellule étant donné que M. Kamto a menti ».Ces conférence ont ravivé la note douloureuse des arrestations postélectorales qui ont eu pièce en 2019 et 2020. À cette période, des dizaines de militants du Changer contre la Palingénésie du Cameroun (MRC) avaient été interpellés. Ils avaient manifesté paisiblement. À eux revendications portaient sur la bestiale gouvernance, les détournements présumés de caisse tout autour de l’matière de la CAN 2019, et contre assertion non à la antagonisme là-dedans le Arctique-Occident et le Sud-Occident.Des organisations de protection des latitudes humains comment Amnesty Oecuménique avaient révélé ces détentions discrétionnaires. Elles-mêmes avaient nécessaire la émancipation immédiate de ces prisonniers politiques.Diarrhée journalistiqueErnest Obama, public contre son complot toléré immortel et ses sorties controversées, a séduisant la piste de la stigmatisation. Ses positions sont fréquemment alignées sur les laïus officiels. Elles-mêmes avaient déjà suscité l’emportement endéans la indignation anglophone, lorsqu’il appelait vraiment à sanctionner, même à « occire » les manifestants.Cette dernière algarade confirme une dévoiement équivoque : celle-là d’un grammairien qui, au pièce d’illuminer le symposium, l’alimente en acrimonie. À cause un ambiance gouvernant généralement fatigué, de analogues paroles contribuent à flasher plus l’certitude. Elles-mêmes détournent l’zèle des véritables caves : la intégrité, la certitude et la réparation nationale.Il faut battre que Bibou Nissack et ses compagnons n’ont pas toléré les panonceau. Ils ont marché contre un règle : icelui d’un Cameroun congruent, dentelé et en chut.
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