Me Akere Muna, qui avait incorporé l’avocate Me Michèle Ndoki vers sa indication, avait posé sa insistance sur l’passage 118 du Droit électoral. Il arguait que le chef Biya, âgé de 92 ans, se voyait chez un point de concordance matériau et cognitive, citant ses absences prolongées à l’importé et la fait des entrevues des institutions qu’il est censé mener, équivalentes que le Pourparlers des ministres et le Pourparlers céleste de la magistrature. L’passé avocat avait même auxiliaire des photos, des éditoriaux de vivacité et une évaluation gériatrique à son classeur, vers appuyer ses accusations de « gouvernance par mission ».Ces arguments n’ont notablement pas admettant le Pourparlers Légal. Cette authentification s’immatriculé chez la attention des jugements précédents de l’C.E.G., qui a régulièrement éliminé les requête intentés afin le chef en entrain.Le pensée de la haute chambre accomplissait passionnément rituel par la commandement diplomatie et l’sentiment notoire. Son bouton explicite de la insistance d’Akere Muna met un bout à une des dernières tentatives de l’contre-pied vers anéantir la sollicitation de Paul Biya précédemment le désignation d’octobre. Uniquement, l’approche enchère est connue jusqu’ici vers ses décisions qui, vers la grand nombre, la déclarent incompétente, ou déclarent les requêtes irrecevables. Les toutes dernières décisions rendues ont éliminé hétérogènes requête, y capable iceux qui visaient l’règle de la sollicitation du chef Paul Biya. L’approche a ouvert plusieurs non fondés et d’différents injustifiés. Au lucarne de ces décisions, le pensée du pourparlers juridique semblait déjà public d’approché, suivant hétérogènes observateurs.
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