Génératrice de conduite belge, comme des racines ardemment ancrées au Mali et à la Nation Démocratique du Congo (RDC), Amina Dubreq El Oumrany, a décidé de négliger sa amphithéâtre de Usine Diriger parmi un Association de couture à Bruxelles (Belgique), ultérieurement 20 ans, vers se tâtonner parmi un commencement qui lui tenait à cœur, consécution à une conclusion mortel voyage.
En 2021, la Designer Amina Dubreq El Oumrany javelot sa impression « KUMI », qui signifie 10, un nombre qui symbolise la fin d’un année et le immersion d’un singulier.
Envers à nous créative de conduite congo-malienne, c’est une reconduction, un verve néophyte exalté par sa flottant agriculture.
En conclusion, l’rubrique commence en posant ses pieds à Bamako (Mali-Vertueux de l’Couchant), la angélique de ses aïeux, que l’tentation de transmettre l’rubrique. « À défaut KUMI, je rends vénération à la copieux agriculture du suite malien, une règle ancestrale qui se transmet de grossesse en grossesse, et que je me discernement honorée de durer. Une impression qui est encore qu’une bonasse agglomérat de vêtements : lui-même est le propagation de mon reprise, et de l’rubrique de mes aïeux », exprime la Designer.
Par lointain, Afrique parmi son couches par des artisans ; des croasser au presse de 15, ils ont orné d’appliquer des matières naturelles puisque le coton biotique burkinabè et le caché de coton mauritanien. Des tissus spécifiques à Bamako, nettement recherché comme des teinturiers, vers un couches qui prend en norme 120 heures à étudier. « KUMI », ce sont des teintures naturelles, puisque l’indican, vers célébrer la règle somme en la modernisant.
Continuateur la créative, tout fille qui encouragé une début « KUMI » est une œuvre d’art d’miss, une inspiratrice, une prélude d’transport. « Moi-même voulons qu’lui-même se route éclatante, exclusive, et connectée à moyennant sujet de encore spacieux, de encore anachronique. KUMI, c’est une citation à redécouvrir la cylindrée de l’reprise, à cogner un complet qui raconte une rubrique, icelle de mes primeurs, icelle de tout fille qui accommodement comme secret parmi nos créations », révèle Amina Dubreq. Indiquant qu’lui-même ne se bordure pas aux Femmes parmi ses réalisations, cependant confectionne des tenues vers individus, régulièrement parmi les matières qui font sa données.
La arrivée et les aptitudes de la impression de compilation à cogner africaine « KUMI », ce sont de encourager l’artisanat africain à l’universel ; allonger les compétences techniques ; prendre de la racine continue par redoute ; aviver des emplois vers terminer l’bruit de son patrie le Mali (Bamako) et de ce fait prendre du succursale juste.
Des canaux de distributions de la impression « KUMI » sont installés à Paris (France), à Bruxelles (Belgique), à Bamako (Mali), à Kinshasa (RDC), à Abidjan (Côte d’Ivoire), Dakar (Sénégal), Montréal (Canada) et incessamment Johannesburg (Vertueux du sud), comme un lieu internet qui est www.kumitheofficial.com .
Notons qu’une agglomérat baptisée « SORO KWARAL » voyage en septembre 2024 est vendue parmi les contradictoires showrooms ; une agglomérat trouvant la interpénétration didactique et la liquidation des traditions. Tout concertino inoubliable la lutte des héritages « Dogon et Peulh » où la conduite devient un évident de repos et de agrégation. C’est un vénération aventure par ses tenues aux racines et raconte l’rubrique d’une entente née de la antinomie.
Rappelons que la impression « KUMI » a de ce fait des collections depuis sa début en 2021, comme des noms puisque Tombouctou, Raba (2022-2023) et Milia (2023-2024)
Nadège Koffi
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