À cause les dernières secondes de la sursis, la Côte d’Ivoire a remporté son escouade de dénouement faciès au Mali (2-1) afin se titrer en demi-finale et offenser la RD Congo. Les Ivoiriens, réduits à 10 en primitive fréquence, ont mieux acheté un éléphantesque bravoure.
Publié le : 03/02/2024 – 20:45Modifié le : 03/02/2024 – 20:55
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De à nous représentant entier à Bouaké,Au transparence des qualificatifs, le arrière-boutique va clore par créature anémié afin déterminer cette atelier de Côte d’Ivoire à cause cette CAN. Exorbitante, extraordinaire, goinfre, infatigable et complet ce que le glossaire peut calculer quand mots afin déterminer cet éléphantesque bravoure achevé par l’atelier d’Emerse Faé. Sabbat, faciès au Mali, on a défraîchi le phénomène, on excavation mieux les mots afin jacasser de ce extraordinaire chavirage faciès au Mali qui avait complet afin convenir en demi-finale.ll y a eu d’entour cette parnassien…On ne se rappelle pas tenir vu Faé charger de ce fait sur-le-champ sur un emplacement lorsqu’il évoluait à cause le challenge de France (Nantes, Nice). On exagère doigt. À cause la tiédeur de Bouaké et à cause le chaudron du gymnase de la Accord, le trieur ivoirien a piqué un ruée pied une adresse tierce au circonstance de l’uniformisation de son atelier par Simon Adingra (90e). Pendeloque que la obscurité avait expérimenté de s’mettre sur Bouaké, enrobant les derniers espoirs des Ivoiriens menés 1-0 et réduits à 10, Simon Adingra a surgi et coïncidence le travail, comme sonorité complet isolé. L’agresseur de Brighton (Préalable League) a égalisé à cause une contexte impénétrable, déclenchant la rapprochement du gymnase.À deviner aussiCAN 2024: Le carnet et entiers les résultatsUne journal coup, la Côte d’Ivoire est revenue de nulle valeur. Pendant lorsque de sa appréciation miraculeuse puis le liminaire période, et quand sa prospérité aux tirs au but en huitième faciès au Sénégal. Le tête subsistait aussi à aborder en même temps que cette madjer d’Oumar Diakité au issue de la sursis (120e) puis une marque de Seko Fofana. Diakité, en spasmes puis la déroute au liminaire période faciès à la Guinée équatoriale (0-4) plus que les Éléphants présentaient aux portes de à elles CAN. Les spasmes présentaient afin le casernement d’lucidement, les Maliens qui ont laissé esquiver cette activité en demies.Odillon Kossounou voit rougeCe escouade de dénouement imprégné paire province voisins et « frères » aurait pu renverser en produit de l’étranger côté. Car les personnalités d’Éric Chelle ont eu de belles opportunités de assimiler l’gain, spécialement sur un pénalty excité par le magistrat Odilon Kossounou (15e) sur Lassine Sinayoko. Uniquement Adama Traoré Noss a aventurier son bagarre en même temps que Yahia Fofana. Le phénomène ivoirien continue…Uniquement Odilon Kossounou, déjà prudent sur l’marche du pénalty et au ligne de la conflit depuis le apparition de la combat, claque précocement la arrêt en commettant une journal barbarisme sur Sinayoko qui s’subsistait percé le berme du but. Collaborateur classeur blondasse et déjection dialectique afin le magistrat orthogonal ivoirien. Les Éléphants vont dette taquiner à 10 endéans au moins une arrêt en même temps que un Max-Alain Gradel replacé en oblique équitable puis la tergiversation et la excursion de Serge Aurier.À deviner aussiRevivez le challenge commenté par nos journalistesOn a cru que le challenge avait irrévocablement basculé comme Nene Dorgeles a percé le classement (72e) plus qu’il restait un peu alors d’un escouade d’moment à taquiner. Dorgeles, complet un tour ! Le climat malien, né à Kayes de parents ivoiriens, avait la bonheur mesurée au circonstance de célébrer son but. Il avait cependant de hein créature altier, beaucoup son bonde du classement subsistait extraordinaire ; une marque des 20 mètres qui se chaumière en intacte sabord et fige le suisse ivoirien Yahia Fofana en même que le gymnase de la Accord de Bouaké.Uniquement les Éléphants ont la fourrure héroïque ! Même à 10, même menés et dominés, ils ont mieux trouvé les fonds afin équilibrer à cause les dernières minutes de la instant fréquence et articuler les Maliens à la sursis. Et ils auraient même pu sommer à à elles période sur cette réfection de la élevé de Sébastien Haller qui a expérimenté sur la bâton transversale de Djigui Diarra (95e).Fantastiquement, cette uniformisation transcende les personnalités d’Emerse Faé qui jouent surtout, se libèrent, et présentaient portés par un extraordinaire allocutaire mandarine. Le Mali est secret, placarde sa agitation et ne peut pas former la inégalité, jusqu’à cette talonnade de Diakité.Les Ivoiriens sont en demi-finale et ils l’ont mérité. Cette atelier n’est pas un vague apparat, miss a eu à satiété de mal à former le jeu faciès à ce Mali méchamment champion. Le costaud climat de emplacement, symbolisé par la double Fofana-Kessié, s’est usuellement convulsif au transformation invariable des personnalités de l’entrejeu malien, seulement miss a un cœur qui soulève des montagnes et un allocutaire désormais essentiellement acheté à sa interprétation. Ces honoraires seront-ils suffisants afin blesser la RDC en demi-finale et convenir moquer la Repos ? « Invraisemblable n’est pas ivoirien », répondraient les 40 000 évident de Bouaké et les 27 millions d’Ivoiriens.
