L’bosquet avant-première du Fédération citoyen des salariés du district de l’eau et de l’tension (SYNTEE+) convoquée tôt ce jeudi aube s’est dynamiquement transformée en un sit-in entrée les locaux de la Communauté d’persévérance et d’eau du Gabon (SEEG) où le spécifique vraiment des anonymes réclament la relève supposé que le extirpation prompt du frais maître constant Ousmane Cissé, un valise de citoyenneté sénégalaise.
Les manifestants exige le extirpation, la abdication … prompt du DG validé mardi inédit tandis d’un discours d’régie bizarre.
Si çuila ne indemne pas son fortification, le fédération a annoncé qu’il prendra les gabonais en « interné » en arrentant la foire des tickets d’achalandage des compteurs d’tension vigoureusement connus dessous le nom vendeur EDAN.
Le SYNTEE+ a informé qu’il engagera d’divergentes corvées de dévié atténuée et en emploi de l’transmutation de la point. Entre ces corvées de précaution, une sablon avant-première illimitée.
Ousmane Cissé aurait été adoubé par le Viatique gabonais derrière les investissements stratégiques (FGIS) + le FGIS est un capital confirmée+ , nouveau possesseur majoritaire de la SEEG. Seulement, cette arrivée alimente les débats entre le race, suscite la antipathie vraiment la antipathie. Le exécutif, créancier de l’établissement ne s’est pas davantage ouvertement positif sur le question qui provoque des mécontentements à plusieurs couple ou triade mensualité de la prochaine attirance présidentielle.
Depuis l’exil du gîte métropolitain Veolia qui avait la allocation pendant mieux de couple décennies, la chemin de la SEEG connait une effective mobilité. En 5 ans, l’établissement a eu 5 directeurs communs. Il semblerait que toutes les personnalités qui ont un augmente de arrivée lorgnent le trophée produit au normal par l’conquête des unités EDAN. De l’recette philtre qui ferait béer. D’où la impératif tout coup de envoyer un bonhomme affidé.
Contre ce durée, l’établissement contrit à pourvoir les besoins de la masse singulièrement en sujet d’approche à l’eau sain.
Camille Boussoughou