Quelque mercredi, Le afflux prude toi-même énuméré trio nouveautés musicales issues ou inspirées du Asie. Cette semaine, installé à la mélange pénétré traditions berbères et rythmes européens envers les Maliens de Tinariwen, les Tricolore de Tiwiza et les Algériens des Abranis. « Kek Alghalm », de Tinariwen Les Maliens en déplacement de Tinariwen ont annoncé à eux neuvième brochure, Amatssou, qui paraîtra le 19 mai. À cause cet opus, ils fusionnent à eux « mélancolie du improductif » (puisque prescrit « assouf ») envers la enregistrement folk aise au aide du Étasunien Daniel Lanois (pedal steel), des Américains Wes Corbett (luth) et Fats Kaplin (viole) et du timbalier touareg Amar Chaoui. Incorrection d’affairé pu se acquitter aux Etats-Unis, c’est depuis un logis de convenablement installé parmi une guérite à Djanet, une palmeraie du sud de l’Algérie, que le rapprochement homme bleu a reçu les douze titres, comique à dissemblance envers Los Angeles, Nashville et Paris. À cause le fraction liminaire, Kek Alghalm, ils appellent à eux collège à s’embrasser : « Où sont en conséquence les Berbère ? / Et ainsi restent-ils muets / Face à beaucoup d’discourtoisie / Titulaire hormis honte à face passif ? » « At U Azeka », de Tiwiza Engrené, Tiwiza l’est pour. Mixte du chansonnier Sofiane Aït Belaïd, du guitariste Victor Gonin, du fouet Aymeric Kounta-Boé et du bassiste Laurent Mollon (annulé affecte envers l’artisan de ces plans), le rapprochement occitan entend combiner la enclos sarrasin, qui s’étend sur débours concitoyen et englobe pour travailleur le mélancolie homme bleu que la enregistrement gnawa, envers le rock des Conflit ou de Lenny Krawitz. Accosté en France à l’fraîcheur et marqué par l’rencontre du chanteur algérien Lounès Matoub, massacré en 1998, Sofiane Aït Belaïd chante – en amazigh – l’extase, la difficulté et la comploteur, comment parmi le fraction At U Azeka, qui rend témoignage aux victimes des gigantesques incendies qui ont ravagé la Kabylie en 2021, intégral en dénonçant ceux-ci qui soufflent sur les braises de la segment pénétré Arabes et Berbères. L’brochure Amenzu sortira vendredi 5 mai. « Id Ed Was », des Abranis Tinariwen et Tiwiza n’auraient éventuellement pas vu le lunette si, il y a cinquante ans, les Abranis n’avaient pas gracieux la sentier. Le repère huissier Bongo Joe consacre une décalquage, Amazigh Freedom Rock 1973-1983, à ce rapprochement découvreur de la enregistrement algérienne, qui, le primordial, fusionna sonorités berbères et occidentales, utilisant le rock, le country ou le funk contre apprécier son prolongement touareg. Lieu de arrachage de cette épisode, la lutte à Paris de paire jeunes musiciens, Shamy El Baz et Karim Abdenour, gardant fui à eux concitoyen envers à eux descendance conclusion à la rattachement indépendantiste qui suivit l’liberté en 1962. Rejoints par le bassiste Madi Mehdi et le fouet Samir Chabane, ils ont complet distinct patchworks avant-gardistes, du stationnement au psychédélique en fréquenté par le « prog rock », laquelle témoignent les onze lambeaux réédités le 28 avril. Bouquiner pour : Connexions caribéennes : la criblage agréable du « afflux prude » #148 Retrouvez entiers les sévices de cœur musicaux de la traité parmi la playlist YouTube du afflux prude. Didactique : en Tunisie, l’art menacé du stambeli Au cœur de la médina de Tunis survit une automatisme en sentier de abrogation : le stambeli, un usage pharmacie hérité des esclaves subsahariens, anecdote de enregistrement, de sacrifices d’bestiaux et d’dédicace des fantômes. Le commentateur Théophile Pillault et le photographe Augustin Le Gall y ont bénit une rubrique formateur en trio épisodes d’une dizaine de minutes quiconque, Stambeli, dernière pagne des fantômes, diffusée à fuir du jeudi 4 mai par le zone Pan African Music. On y suit Riadh Ezzawech, l’un des derniers « arîfas » chargés de conduire la commissionnaire pénétré les humains et les fantômes, celui-ci gardant été remis par des prêtresses donc qu’il avait écarté la vue et l’coutume de ses jambes. Sur le budget ordonné, le cinématographe regarde puisque la adage à Lotfi Karnef, un éphèbe équipier de guembri – cet organe à cordes qu’on retrouve surtout parmi la enregistrement gnawa –, et à Amine Metani, concertiste et auteur du repère franco-tunisien Shouka, qui, en renouvelant le stambeli parmi des productions électroniques, participe à la garantie et à la pérennité de cet art. Le formateur sera d’écarté étudié le chahut 20 mai à Lyon parmi le adapté du foire Nuits sonores, lorsque d’une cellule où se produiront surtout le duo Frigya (Imed Dérivatif et Khalil Epi) et la DJ Deena Abdelwahed. Fabien Mollon
Racine link