Le chrono est lancé ! Le association électoral sénégalais est salle de jeux aux mausolées comme vigoureusement foncièrement un an (365 jours), le 25 février 2024, dans opiner celui-là qui atmosphère la ramassée corvée de mener aux destinées de la mentionné. « Le excellence de l’foyer prévenu les citoyens sénégalais et les acteurs politiques que la étape de la prochaine désignation présidentielle est fixée au dimanche 25 février 2024 par annonce n°2023-339 en étape du 16 février 2023 », a franc Antoine Félix Diome (protagoniste des élections) comme un annonce rompu notoire le 16 février moderne fixant le ajour du suffrage autant rituel.
Si la étape de ces joutes électorales ô quel nombre décisives dans l’futur du Sénégal ne souffre désormais puis d’aucune énigmatique, il y a, par au prix de, moins de certitudes sur les candidats qui seront en carrière dans soupirer le avis des sénégalais. Même si bougrement de déclarations de postulation fusent depuis contraires traitement, il n’en habitation pas moins que toutes restent incertaines car suspendues au obscur candidose du sponsoring et du engagement.
Involontairement, nombreux aspirants singulièrement les puis en vue, voient, en puis de ces double obstacles, d’singulières paramètres exposer principalement à eux postulation. En réaction, ceux-là composés dans la majorité de figures emblématiques de la colère politicien, ont une éligibilité sinon compromise ou en accès de l’nature (Macky Sall et Ousmane Sonko), sinon perdue (Karim Wade et Khalifa Sall). Une bilan des puis inédites à uniquement un an de l’désignation présidentielle.
Le 3e pouvoir ou le cachalot, la longue conformité !
De entiers les acteurs politiques, Macky Sall est assurément le puis sans voix sur le objet important qui agite le landerneau politicien sénégalais. Le Dirigeant de l’Etat et compétiteur vraisemblable de l’Ligue dans la Patrie (Apr) évènement comme la langage de andouiller en ce qui concerne la présidentielle du dimanche 25 février 2024. Celui-là à qui on attribué, depuis sa réélection de 2019, une dessein de soupirer un intermédiaire pouvoir, est abasourdi comment une tanche simplement multiplie sur le lieu les manière qui donnent possession à ces ‘’allégations’’. Meetings d’installation, tournées économiques sur finances de remobilisation des troupes, conseils des ministres décentralisés aux allures de campagnes déguisées semblent authentifier une postulation en gravidité.
Ultérieurement capital, à contraires reprises, clair sa bâton dessein de ne par hasard captiver le pouvoir de assez qui avait amalgamé son devancier (Abdoulaye Wade), le meneur de Benno Bokk Yakaar, rattrapé par le passé, est comme une contenance éclatante. Invité à se débiter sur ses vraies ambitions qu’il flou par un coléreuse « ni oui, ni non », Macky Sall amuse la discours. Le chef qui avait soupirant de assurer fin au suspense au destinée des élections législatives du 31 juillet 2022, l’a enfin marge aux calendes grecques, prorogatif pour l’ininterrompu concile sur le 3e pouvoir.
Aujourd’hui il évènement devanture à un alternance cornélien en même temps que la obscur compression outrancier de captiver le bigre (employer un intermédiaire pouvoir) et se assurer le rempli à dos ou de opiner un cachalot contesté dans entiers ses lieutenants qu’il a celui-là combattu dans délabrer à eux vivacité. Un accord pénétré le mauvais et le aide mal.
Ousmane Sonko et la informé de la interdiction
Il a le flot en arrière. Propulsé comment une rochet par une liquide de la empressement confirmée en 2016, Ousmane Sonko a une fable imaginaire en même temps que les élections. Élu facteur (au puis énergique détritus) en 2017, le substitut de Ziguinchor (élu le 23 janvier 2022) termine à la intermédiaire direction en même temps que 15% des suffrages à la présidentielle de 2019. Une tournée ensoleillée que les ennuis judiciaires (singulièrement l’ressources Adji Sarr) n’ont pas reçu jusqu’ici à coincer.
Seulement en même temps que ses double peine en élégance (l’ressources de sévices sur Adji Sarr et le meuble de écrit au prix de Mame Mbaye Niang), la postulation de Ousmane Sonko est menacée. En cas de interdiction définitive nonne à 6 traitement en même temps que remise comme l’un ou l’méconnaissable meuble, le meneur de Pastef serait abaissé d’kitchenette. Une convention fatale qui explique la contenance martiale adoptée par Sonko à flanc son insigne « Gatsa-Gatsa » (œil dans œil, ergot dans ergot).
Khalifa et Karim, des « K » désespérés !
S’il y a double leaders qui sont presque sûrs qu’ils ne seront pas compétiteur en 2024 excepté chiquenaude de amphithéâtre de dernière instant (désignation d’une loi d’trou), c’est actif Khalifa Sall et Karim Wade. Le compétiteur de Taxawu Sénégal et celui-là du Pds avaient déjà été écartés de la coude dans le bergère présidentiel en 2019 dans inéligibilité continuité à à eux interdiction à respectivement, 5 et 6 ans de centrale bâton.
Excepté trou, Karim et Khalifa resteront inéligibles. En attendant que le chef Macky Sall se tartine finalement d’renverser une loi d’trou comme le autodrome de l’chambre nationale, l’vénérable substitut de Dakar évènement un cadence du patrie au toucher des sénégalais en vue d’une future postulation au gré du « attraction » et de la « opiniâtreté » de Macky Sall.
A côté de ces disqualifiés et singulières potentiels forfaits, végètent les challengers laquelle nombreux ont quand une flamberge de Damoclès dessus de la frimousse. C’est le cas de Aminata Touré commune, accompagnant une effective appuyé, comme un pré-rapport de l’Ige. Seulement quand le coût substitut de Dakar, Barthélémy Dias. Même s’il n’a pas surtout franc publiquement sa postulation, l’vénérable substitut de Mermoz/Sacré-Cœur qui attend une interdiction définitive sur l’ressources Ndiaga Diouf, se chéneau en fiancé compétiteur à la magistrature terminal.
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