
Nommé à la tête de Smart Africa en février 2019, l’Ivoirien Lacina Koné a de grandes ambitions pour son organisation. © Smart Africa
Le dirigeant de Smart Africa, qui fédère 35 États, prône une vision de la transformation technologique du continent réunissant politiques, régulateurs, opérateurs télécoms et acteurs d’internet, Gafam compris.
« Cinq nouveaux projets phares de Smart Africa occupent mes journées », lance d’emblée Lacina Koné. Approuvés fin 2020 par cette alliance qui réunit 35 États et 45 entreprises, ils doivent aider les pays du continent en améliorant l’accès aux technologies de l’information à mieux faire face à cette pandémie et aux suivantes.
Mutualiser les achats
Le premier, porté par l’ensemble des membres de Smart Africa, vise à mutualiser les achats d’infrastructures réseaux. C’est le résultat d’une étude réalisée en 2020, « qui a montré que des achats groupés réduiraient le coût des équipements de moitié pour les pays enclavés et de 25 % pour les pays du littoral », ajoute le directeur général de l’alliance.
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